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 D'autres indices témoigneraient d'un tel déplacement soudain, massif du à une catastrophe. "Dans le comté de Lincoln, Wyoming, des spécimens presque parfaits de poissons, de tortues, d'insectes et de mamifères ont été trouvés réunis avec d'immenses feuilles de palmiers de 2 à 2,5 m. de long et 1 à 1,2 mètres de large" (p. 93).
Énergie fossile : le charbon
Le charbon provient de l'accumulation et de la compression en un même lieu souterrain de grandes quantités de matières végétales. Chaque mètre de charbon a requis plusieurs mètres de plantes compressées et quelques unes de ces couches de charbon ont de 9 à 12 mètres d'épaisseur (p. 93).
Comme pour les autres fossiles, "...il n'existe plus aujourd'hui de processus semblable de formation de charbon et la théorie dite des "tourbières" n'est qu'une pauvre tentative de résoudre le problème (...) Le "Dismal Swamp" de Virginie, qui est peut-être le cas le plus souvent cité d'une veine potentielle de charbon, n'a produit qu'une
tourbe d'une moyenne de 2 m., (...) On ne connait aucune région où le lit de tourbe, dans sa partie la plus profonde, soit devenu une mine typique de charbon. Toutes les mines de charbon semblent par conséquent avoir été formées par le passé et ne continuent pas à être formées dans le présent, alors que selon le principe de l'uniformité on s'attendrait à ce qu'elles se forment encore aujourd'hui" (p. 93-96).  Autre fait intéressant, le continent polaire occidental (côte gelée) avait autrefois un climat chaud et humide avec une abondante végétation. Cela est démontré par "la découverte de grandes quantités de charbon et de bois pétrifié" (National Geographic Magazine, fév. 1963, p. 288, 296 et nov. 1971, p. 653, cité par Whitcomb et Morris, p. 94). Certains des troncs d'arbres pétrifiés à la verticale qu'on trouve dans les strates superposées du sol Arctique, entourrés de plusieurs couches de matériaux déposés et consolidés avec le temps démontrent que ces couches de matériaux se sont superposées dans un court laps de temps. Il a en plus été démontré expérimentalement que la formation de charbon a pu se faire en un temps très court, contrairement à la théorie uniformiste. Cela a été "démontré par les expériences du Dr. George R. Hill, du College of Mines and Mineral Industries de l'université de l'Utah. Son rapport a été publié dans Chem Tech, mai 1972, p. 296" (p. 95). Voici la réponse à la théorie uniformiste concernant la formation des continents et des grandes chaînes de montagnes. Nous nous contenterons de citer un extrait:
"Les grandes chaînes de montagnes donnent toute évidence d'avoir été poussées soudainement vers le haut à une époque relativement récente (...) l'uniformisme ne peut pas expliquer l'origine des géosynclinaux, l'affaissement continuel nécessaire à l'accumulation de hauteurs considérables de sédiments, les régions d'où ces grands volumes de sédiments ont dû être érodés et le soulèvement et la déformation de ces géosynclianux pour former les actuelles chaînes de montagnes. Il ne peut pas non plus expliquer l'existence de grandes pénéplaines, de canyons ou de coulées desséchées, de vallées suspendues, de chutes d'eau taries et de bassins aux rebords rocheux" (p. 98). En fait, le livre présente beaucoup d'autres arguments que nous ne pouvons pas exposer ici. Mais on pourrait parler encore d'autres cas où la science a erré, par exemple en disant qu'il faut de très longues périodes pour former des stalactites (ces espèces de cônes calcaires) dans les grottes. À preuve, ils fournissent une photographie prise sous la structure du monument du président Lincoln et montrant une stalactite formée en quelques décennies. Celle-ci est encore de faible diamètres, mais de bonne longueur lors de sa découverte, démontre que nul n'est besoin de millions d'années ou même de dizaines de milliers d'années.
Le signe de l'arc-en-ciel est-il un mythe d'une foi enfantine?
Les auteurs ont expliqué leur position quant au fait qu'il n'avait jamais plu avant le déluge, ni par le fait même fait soleil de la façon dont nous l'observons. Une vapeur montait de la terre pour arroser le sol et l'apôtre Pierre nous parle du
kosmos ou système d'alors avec une sorte d'effet de serre (sans précipitations comme ajourd'hui), versus les cieux et la terre d'à présent (avec alternance ciel bleu et nuages, grands vents, et autres); lesquels sont séparés d'un événement majeur; le déluge biblique (plus précisément dans le livre de la Genèse).
Sans penser à l'existence de deux systèmes climatiques très différents, le signe divin de l'arc-en-ciel ferait, pour plusieurs scientifiques, figure d'une belle légende enfantine. Mais si l'on considère que la voûte de vapeur s'étant écroulée quand les écluses ou fenêtres du ciel se soient ouvertes, alors nous avons un septième passage biblique qui va dans le même sens; celui de confirmer ce passage radical entre deux systèmes climatiques (annonçant probablement aussi le début d'une ère de glaciation). Noé et les siens ont pu alors effectivement voir pour la première fois de leur vie, un arc-en-ciel et recevoir la révélation que cela constitue un signe commémorant la fin d'une époque et le premier et dernier déluge globale.
"J'établis mon alliance avec vous, aucune chair ne sera plus exterminée par les eaux du déluge, et il n'y aura plus de déluge pour détruire la terre.  Et Dieu dit,
C'est ici le signe de l'alliance que j'établis entre moi et vous, et tous les êtres vivants qui sont avec vous, pour les générations à toujours,  j'ai placé mon arc dans la nue, et il servira de signe d'alliance entre moi et la terre.  Quand j'aurai rassemblé des nuages au-dessus de la terre, l'arc paraîtra dans la nue;
et je me souviendrai de mon alliance entre moi et vous, et tous les êtres vivants, de toute chair, et les eaux ne deviendront plus un déluge pour détruire toute chair. L'arc sera dans la nue; et je le regarderai, pour me souvenir de l'alliance perpétuelle entre Dieu et tous les êtres vivants, de toute chair qui est sur la terre.
Et Dieu dit à Noé, Tel est le signe de l'alliance que j'établis entre moi et toute chair qui est sur la terre" (Genèse 9:).
Nous avons donc ici un septième texte biblique très audacieux qui va dans le sens de la théorie de Whitcomb et Morris.
[Note: Dieu oublierait-il, au point de devoir placer un signe (l'arc) pour se souvenir? Non. Encore une fois, pour vivre une relation avec les hommes qu'il a créés, il s'abaisse au niveau de l'humanité par une alliance, comme plus tard avec Jésus Christ (Dieu venu en chair), dont chaque individu peut devenir une maison de Dieu en esprit.]
Quelques Réflexions sur le travail de Whitcomb et Morris
Des passages bibliques clés nous ont étonnés, c'est le moins qu'on puisse dire. Et ceci, scientifiquement,  grammaticalement et  historiquement.
D'autre part, il est démontré haut la main, à notre avis, que le témoignage biblique du déluge, après un examen systématique demeure tout à fait cohérent avec les données scientifiques (pas avec le dogme évolutionniste de la Science évidemment).
Quelques autres considérations
Problème de datation et carbone 14
Un des problèmes de datation de la terre et qui fait que les scientifiques rejetant le créationnisme s'opposent à la Bible, est qu'ils présupposent que la formation terrestre n'a pas connu un ou des boulversements majeurs et soudains. En même temps, pour mesurer, il leur faut un étalon de référence. Alors ils calibrent le carbone 14 en fonction d'une hypothèse (l'uniformisme avec ses changements très lents). Sauf que s'il s'avère que l'hypothèse (la date de l'étalon; exemple: une couche terrestre) soit totalement fausse, la datation relative des autres couches serait elle aussi complètement faussée. C'est le problème du raisonnement circulaire qui ne tient pas compte du fait que la terre a pu vivre des bouleversements majeures en des temps très courts.
La datation dépasse notre compétence personnelle, néanmoins si quelqu'un voulait aller plus loin que l'establishment scientifiquement correct, il découvirait que même des docteurs en science peuvent être créationnistes (www.creationresearch.org et chercher carbon 14 ou flood par exemple).
Une question de foi Un créationniste peut-il NE PAS être chrétien? Oui. Car malheureusement, il est possible de croire en Dieu ou en une divinité, sans croire en Christ pour être sauvé (Romains 10:1-11).
Ceci dit, la foi du chrétien et du scientifique présente des similitudes. En particulier, l'objet de cette foi (ce vers quoi elle regarde) change; d'un côté Dieu, de l'autre la Science.
Le scientifique croit par exemple aux origines par le Big Bang ou d'autres hypothèses semblables. Mais qu'y avait-il avant? Pourquoi un Big Bang? Ou qu'en est-il des autres théories moins populaires? D'où vient la force mystérieuse de l'anti-gravité découverte récemment? L'équilibre et l'ordre rencontrés partout dans la nature, sont ils le fruit du hasard?

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